Être caissière a sans aucun doute été l’expérience professionnelle la plus formatrice que j’ai vécu au cours de ma courte (mais passionnante) existence. Aujourd’hui, je vous livre un article un peu plus personnel où je vous parle de 10 leçons retenues lors de cette expérience qui me servent au quotidien pour mon propre business. Vous êtes prêts à tout savoir sur l’enfer des bips-bips et des clients mécontents ?
Je mentirais si je disais que les quelques années que j’ai passées dans la Grande Distribution ont été une perte de temps totale. J’avoue que je suis ressortie de cet endroit bien plus mûre qu’à mon arrivée, car force est de constater qu’il s’agit d’un secteur on ne peut plus formateur. Aujourd’hui, je réalise même que cette expérience professionnelle m’est on ne peut plus utile pour le développement de mon entreprise ! Qui l’eut cru, sérieux ?
Quand j’étais caissière… 10 leçons qui me servent dans mon business. #caissière #entrepreneur #businessClick to TweetÊtre caissière au delà des clichés
Je me suis pointée tout sourire à mon entretien avec la chef de caisse, racontant niaisement que j’avais lu le livre « Les Tribulations d’une Caissière » et que je voulais moi aussi rentrer à la maison avec mon lot d’anecdotes croustillantes sur la stupidité des gens.
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Il faut croire que ça a été relativement convaincant, puisqu’on m’attribua quelques jours plus tard mon super numéro d’identification, signe que j’étais officiellement une VRAIE caissière (ou hôtesse de caisse, vous choisissez) à temps plein. En tout cas sur le papier. La liste de mes missions s’est vite agrandie, même si l’intitulé « Hôtesse de caisse » venait toujours m’insulter mensuellement sur ma fiche de paie.
Une caissière doit être polyvalente
En dehors des heures d’affluences, le manque d’activité permet de tester quantité d’autres métiers du magasin pour lesquels parfois, vous n’avez pas franchement les compétences requises.
Être caissière, ce n’est plus être assis peinard derrière sa caisse enregistreuse à attendre gentiment le client, lime à ongles prête à dégainer pour repousser l’ennui, dans la poche avant du veston.
Peut-être que c’était comme ça avant, mais maintenant, vous êtes un peu une bonniche touche à tout.
La rigueur est le maître mot. Mais vous êtes tout de même toujours payée au SMIC, rassurez-vous.
C’est à dire que s’il n’y a personne en caisse, alors on peut très bien vous envoyer en rayon, soit pour faire de la mise en rayon, soit pour vous mettre au stand de découpe de la charcuterie ou mieux : en poissonnerie.
Quel est le rapport ? Aucun, vous êtes juste plus rentable comme ça. Des types en costume dans une salle de réunion glauque se sont dit que vous infliger des tendinites, des problèmes de dos et des insultes gratuites ne suffisait pas.
L’un d’eux s’est même levé pour affirmer que les douleurs musculaires et les risques de vous couper un doigt avec la trancheuse à jambon étaient une bonne idée pour pimenter votre triste vie de caissière peinarde, en train de s’ennuyer à mourir dans l’un de ces grands magasins vides.
Les autres ont approuvés, et ils sont tous partis fêter cette décision avec une pause café rémunérée.
Pendant ce temps là, vous avez déjà encaissé 3 fois votre salaire mensuel rien que ce ce matin… Bien sûr, on ne vous filera même pas de prime pour vous récompenser. Et puis quoi encore. De toute façon, les personnes dont ça dépend sont en pause café, vous comprenez.
Oui, je l'ai mauvaise
Quand je vois le travail et la motivation émanant de certains de mes ex-collègues… Je me dis que c’est vraiment horrible de ne pas laisser à ces personnes la possibilité d’évoluer.
Constamment, ils sont traités comme des moins que rien alors qu’ils sont capables de grande choses.
Et on leur fait croire que le seul espoir qu’ils ont de s’en sortir, c’est d’évoluer vers une carrière de chef de quelque chose. Chef de ligne, chef de rayon, chef de secteur… Peu importe, du moment qu’on vous fait croire que vous êtes important.
J’ai de bonnes choses à vous raconter sur le métier d’hôtesse de caisse (et d’hôtesse d’accueil, car rappelez-vous, je suis polyvalente!)
Mais avant d’en dire du bien, il fallait bien que je vous dise tout ce que j’ai sur le coeur, pour que vous compreniez mieux l’enseignement que j’ai tiré de cette drôle de période où être caissière était mon quotidien.
Honnêtement, j’aimais beaucoup mon travail au début, et ce sentiment a finit par se dégrader jour après jour. Ca m’a beaucoup appris, mais aujourd’hui, je comprends à quel point être caissière a été compliqué, et je réalise que certains ne méritent pas d’être condamné à attendre leur retraite sous cet éclairage artificiel.
Ce qui m'a vraiment gavée
En plus des anecdotes sur les clients, j’avoue que j’ai pas mal de choses à raconter.
En même temps…. Enfermez 500 personnes dans un bâtiment mal isolé avec une surface de vente égale à la taille de Disneyland pendant 35 heures par semaine.
Puis, attendez tranquillement qu’ils s’arrachent mutuellement la tête. En France, on en fait des émissions complètes je vous signale.
Travailler dans le secteur de la Grande Distribution, parfois, ça donne l’impression d’être le personnage d’une série B passant sur le câble.
Ou tout simplement quelqu’un qui a été casté pour une nouvelle téléréalité ayant pour thème les hypermarchés. Oh ! #idéedegénie On l’intitulerait « A fond la caisse ! »
Previously, dans "Les Anges de la Grande Distribution"
500 collègues = suffisamment d’interactions entre les humains pour qu’il y ait absolument tous les ingrédients indispensables pour un bon épisode de Grey’s Anatomy.
De l’amitié, de l’amour, des trahisons, des disputes, du meurtre…. (non je rigole)… des « Machin dit ça sur le dos de Machin« … En bref, on se retrouve joyeusement plongé dans un esprit sectaire digne du collège où on côtoie OKLM des adulescents de 50 ans qui ne semblent toujours pas avoir compris que parler dans le dos des gens était synonyme de lâcheté et de faiblesse d’esprit.
Mais bon que voulez-vous, on ne change pas les gens. Et surtout : on ne peut pas leur reprocher de n’avoir rien de mieux à faire.
Moi aussi, si ma principale occupation était de me rendre quotidiennement dans un hypermarché, je pèterais un cable.
Ah mais attendez, l’une de mes personnalités multiples me souffle à l’oreillette que c’est ce que j’ai fait !
L'ingrate de service
J’ai ralé (et je rale toujours), mais je suis loin d’être revenue les mains vides. Honnêtement, si c’était à refaire, je pense que j’y retournerais.
Je considère que ce métier m’appris énormément de choses, tant sur le point personnel que professionnel et c’est une « chance », quelque part, d’avoir pu apprendre autant en si peu de temps.
En tout cas, aujourd’hui, je suis bien contente d’avoir traversé tout ça.
Comme dans tous les métiers liés de la vente ou au commerce, on découvre une facette du genre humain qu’on ne souhaitait pas vraiment connaître tout au fond de soi. Et invariablement, cet apprentissage forcé nous pousse à évoluer et à changer d’attitude.
Être caissière m’a changé. En bien ou en mal, je vous laisse en juger. Mais une chose est sûre, c’est que je ressors vraiment grandie de cette expérience, et que sans, je pense que je n’aurais pas été capable de gérer si bien ma propre entreprise aujourd’hui.
Être caissière : Les 10 leçons qui me servent aujourd'hui dans mon business
Vous allez me dire : Blogging / Grande Distribution…. Euh… Quel est le rapport ? Mais il y en a un, et même plusieurs, je vous le jure ! Lisez la suite pour tout savoir
La polyvalence,
c'est trop cool.
Je vais vous dire la vérité. J’en ai fais des tafs pourris. Avant d’être caissière, je travaillais dans la restauration rapide. La polyvalence, ça me connaît.
Alors quand on m’a annoncé qu’on allait m’enfermer derrière une caisse pendant 35h par semaine, j’avoue que j’ai un peu flippé.
Et même en y mettant toute la meilleure volonté du monde, ce travail aux tâches répétitives et ennuyantes m’a vite agacée.
Quand par chance, on m’envoyait dans un rayon ou à l’accueil…
C’était comme une bouffée d’air frais où je pouvais enfin faire autre chose que de débiter machinalement à la chaîne les mots : « Bonjour, vous avez la carte de fidélité ? Merci au revoir, passez une bonne journée »
Et ça non stop jusqu’à la pause clope de 3 minutes qu’on aura gagné pour une heure de dur labeur.
La polyvalence, c’est ce qui me permet aujourd’hui d’alterner l’écriture des articles avec l’enregistrement de mes modules de formation pour enchaîner avec du graphisme et terminer la journée par de l’optimisation SEO.
J’ai appris à changer d’activité en un claquement de doigts.
Le mieux, c’est que je ne perds pas en productivité quand je passe du coq à l’âne. Merci la Grande Distri.
Ouvrez-là, parce que personne ne le fera pour vous.
Être caissière, c’est vaincre sa timidité ! Par jour, ce sont des centaines d’inconnus qui vous taperont la discut’ alors que vous ne leur avez rien demandé.
Parfois avec colère, souvent avec bienveillance. Dans tous les cas, petit à petit, vous serez plus habitué au contact humain.
Ainsi, quand vous rencontrez des inconnus intimidants, vous leur parlerez comme à de vieux copains sans vous inquiéter une seule seconde de ce qu’on pourrait bien penser de vous.
C’est quelque chose que je ressens principalement quand je rencontre des gens « en vrai » ou que j’interviewe des personnes en face à face.
J’ai bien conscience que si je n’avais jamais été habitué à traiter avec la clientèle, il est fort probable que je n’aurais pas eu le cran de faire des interviews.
Relativiser est essentiel pour passer une bonne journée.
Quand votre chef vous broie la main, que la machine à café vous vole 30 centimes et que le premier client vous râle dessus…
Forcément, vous êtes très vite tenté de vous plaindre non stop. Mauvaise idée quand on sait que chaque journée apporte avec elle son lot de problèmes.
Être caissière, c’est relativiser, et dire Adieu à la susceptibilité. On vous crie dessus ? Très bien, pas grave, on ne va pas se miner le moral pour si peu.
Ça, c’est bien pratique quand vous avez glandé toute la journée et que vous commencez à culpabiliser. Tant que la journée n’est pas finie, alors elle ne peut pas être entièrement mauvaise !
Ne pas travailler, c'est s'ennuyer.
Encaisser les gens, c’est toujours moins chiant que d’attendre comme une gourde derrière sa caisse. A force de m’ennuyer, j’ai pris goût au fait de travailler.
Tout simplement parce que ça faisait passer le temps. Aujourd’hui je suis une passionnée de travail qui passe ses journées à taper sur un clavier en prenant une petit pause café ici et là.
Je pense que si je ne serais pas si productive si je n’avais pas compris ça, au cours de mon expérience dans l’une de ces grandes enseignes qui nous nourrit.
Le diplôme n'est qu'un papier.
Certains directeurs de magasin et autres chefs de rayon ont clairement eu leur diplôme dans une pochette surprise…
Si tant est qu’ils ne l’ont pas falsifié tard dans la nuit, la veille de leur entretien ! Alors, bien sûr, il ne faut pas mettre tout le monde dans le même panier. Mais tout de même.
Là où vous voyez des gens très compétents payés une misère… Vous en rencontrerez d’autres bien plus grassement payés qui sont incapables d’aligner deux mots sans se ridiculiser.
Certes, ils ont un diplôme. Mais pour moi, leur place dans la société n’est qu’une preuve supplémentaire qu’il ne s’agit que d’un bout de papier destiné à vous coller des compétences que vous ne maîtrisez même pas dans certains cas.
Que voulez-vous, je suis autodidacte, c’est comme ça !
75% de la population est stupide et mal élevée.
De toute évidence, nous n’avons pas tous été éduqués de la même manière.
Chez moi, on dit « bonjour, au revoir, merci et s’il vous plaît » même si l’envie de griffer au visage la personne en face de nous nous titille un peu beaucoup.
C’est le cas pour vous aussi ? Bravo, vous faites partie de l’élite.
A l’inverse, les impolis et les conn*rds, eux, ne se gênaient pas pour faire tout un patacaisse. Seulement 25% de la population en est capable, ce doit être souligné.
Vous imaginez ? Si quelque chose d’aussi basique que la politesse est aussi rare, rendez-vous compte de vos qualités et de vos compétences.
Être caissière m’a appris que j’étais déjà plus courtoise que 75% de la population, et je ne m’en doutais même pas.
Pour moi, c’était logique pour tout le monde. Rendez-vous compte de vos capacités, et utilisez les pour faire la force de votre entreprise.
Il faut toujours râler pour obtenir ce qu'on veut.
Plus qu’être caissière, c’est d’être hôtesse d’accueil qui m’a le plus fait grandir. Et j’y ai appris une chose en particulier qui me permet aujourd’hui d’obtenir tous les gestes commerciaux que je veux…
Et accessoirement, de savoir exactement comment râler auprès d’un service client.
Au fil de mon expérience, j’ai bien réalisé que les personnes douces, tranquilles, polies et gentilles… – Bref les gens biens quoi – … qui essuyaient un refus n’insistaient pas.
A l’inverse, les clients impolis, agaçants et énervants ne se gênaient absolument pas pour crier leur haine à la face de la pauvre petite employée polyvalente que j’étais. Et à la fin, ils obtenaient gain de cause.
Ouvrez-là, parce que personne ne le fera pour vous. Si on peut vous faire croire que vous n’avez pas le droit à quelque chose… Alors, insistez toujours pour voir un responsable.
Contrairement à l’employé consciencieux bien plus payé que lui qui l’a précédé… Le responsable a autre chose à faire que de se disputer avec un client.
Il dit « oui », pour qu’on lui fiche la paix et qu’il puisse retourner en salle de pause regarder mélancoliquement par la fenêtre comme s’il était épuisé par sa triste vie remplie de pauses cafés.
C’est bien quelque chose que je ne tolère plus aujourd’hui. On me demande gentiment, alors je suis gentille. On me demande méchamment, alors va te faire voir, cordialement.
Ça peut paraître prétentieux… Mais je refuse de perdre mon temps à polémiquer et à me prendre la tête avec des clients malhonnêtes, malpolis et agressifs. Dès que j’ai le moindre doute, c’est NEXT. (Oui parce que maintenant, c’est MOI le responsable).
Le client n'est pas roi, mais il faut lui faire croire le contraire.
Mais si. Vous connaissez forcément cet adage. « Le client est roi. » Même si on leur coupe la tête aux rois en France hein, mais je dis ça je ne dis rien. Dans le secteur de la Grande Distribution, le client est tout sauf un roi. Mais on gaspille tous les efforts du monde à lui faire croire le contraire.
En vérité, en réunion, le client est traité comme une sorte de machine à sous avec des bras et un caddie, à qui il faut absolument vendre un produit en plus. Même à la caisse du supermarché, oui.
Le client n’est pas vraiment le roi. Mais il pense qu’il l’est. Et ça lui suffit à sortir son argent.
Vous le savez, l’éthique vient toujours me titiller pour me rattacher un peu à la réalité.
Aujourd’hui, personne n’est roi (enfin, je suis un peu la reine quand même… Wonder Wild Queen vous savez…), mais mes clients sont traités comme des « amis ».
J’ai la chance de travailler avec des personnes bienveillantes, polies et agréables, donc nous sommes sur le même pied d’égalité. Il n’y a ni roi, ni sujet, juste des gens qui collaborent et qui échangent… Croyez-moi, c’est tellement mieux.
Juste parce que quelqu'un vous sourit, ça ne veut pas dire qu'il ne se fout pas allègrement de votre gueule.
Il faut toujours se méfier des clients un peu trop souriants, parce que c’est suspect.
Physiquement, personne ne peut être aussi joyeux de faire les courses.
Et ça vaut aussi pour les collègues. Méfiez-vous des plus larges sourires, ce sont souvent les plus sournois.
Depuis que j’ai vu le vrai visage des gens dans les grandes surfaces…
Je peux vous assurer que je suis beaucoup plus méfiante avec le genre humain. Quand on voit qui sont vraiment les gens, on a plus trop envie de s’en approcher.
Le fait de travailler chez moi me permet de ne pas avoir à me coltiner des personnes que je ne supporte pas à longueur de journée.
Avec la magie d’Internet, je ne suis en contact qu’avec des gens avec qui j’aime vraiment discuter. Et je ne rencontre que ceux que j’ai vraiment envie de rencontrer.
Vous savez faire bien plus de choses que vous ne le pensez.
Quand vous devenez officiellement « hôte de caisse », vous finissez par croire que vous ne savez faire rien d’autre.
On vous dit que vous êtes performant pour l’encaissement, ou encore pour le rangement des paniers, et vous vous dites…
« Pour une fois que je suis bon en quelque chose. »
La paie est correcte, et vous avez un CDI. Alors vous vous enfermez dans cette prison dorée. En réalité, il n’y a rien de plus malsain.
Parce qu’être caissière, c’est bien plus qu’encaisser ou même mettre en rayon. Juste parce qu’il s’agit de votre métier, ça ne veut pas dire que vous n’avez aucune autre option pour votre avenir.
Vous êtes caissier ou hôtesse de caisse ?
Alors, laissez-moi vous dire quelque chose. Peut-être que ça vous convient pour l’instant, peut-être que vous pensez que vous ne pourrez rien trouver de mieux… Mais je vous assure que c’est faux. Même si vous pensez que la situation est confortable, que vous avez la chance d’avoir un travail stable, n’oubliez pas une chose.
Vous avez toujours la possibilité de vivre vos rêves, de vivre de votre passion et de vous épanouir bien plus que ça. J’ai longtemps pensé que je n’étais capable de rien d’autre, et une partie de moi s’était habituée à ce quotidien. Il faut dire qu’on ne s’ennuie jamais dans un hypermarché.
Mais regardez-moi. Aujourd’hui, je travaille en pyjama, et mes journées sont remplies d’activités qui me passionnent. La seule interrogation qui demeure, c’est pourquoi je ne me suis pas lancée plus tôt. Réfléchissez-y. Il y a sûrement d’autres moyens de vivre correctement votre vie sans vous pourrir la santé pour une enseigne qui se moque de vous.
J’espère que cet article n’aura heurté personne, et comme on dit pour faire une lettre de motivation afin de postuler dans la Grande Distribution (lol) : Je vous prie de croire en l’expression de mes sincères salutations.
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J'espère que cet article vous aura plu !
Pensez-vous qu’être caissière est un métier difficile ? Quel est votre avis sur la question ?
Partagez votre opinion dans les commentaires !
5 Responses
J’ai bien aimé lire cet article, on aurait presque l’impression de retourner au collège ! =p
(Haha, le gif avec Sheldon)
Qu’on est bien à travailler au chaud, à la maison, loin des humains XD
Travailler avec des gens qu’on ne support plus toute la journée je connais! L’hypocrisie …. c’est moche et tellement pas moi …Au secours!
Mon conjoint a également travaillé en grande distri et nous connaissons tout ce que tu décris très bien ici! lui travaille maintenant toujours dans le commerce mais seul dans sa voiture (commercial) et ça lui convient totalement, il gère son CA etc tout seul comme un grand. Moi aussi je veux un job qui ne repose que sur moi et mes épaules de géantes (1m90)!
On sors grandi de chaque expérience bonne ou mauvaise! BRAVO à toi!
Tu es donc littéralement une « grande dame » 🙂 Merci pour tes commentaires, et je plussoie fois mille ton avant dernière phrase ♥
Moi ce qui me stresse le plus, c’est les erreurs de caisse, j’en ai tout les jours et ça m’énèrve par ce que je sais pas comment elles arrivent là !
Enfin bref, je pense pas que je tiendrais longtemps, mais je vais faire de mon mieux, cet article me donne déjà un peu plus la foi ! 🙂